CARNET DE VOYAGE

Départ hors saison pour un road trip en van de 8 jours sur les routes de la Corse du Sud. Au programme de notre première étape : vieille ville médiévale et fromage fumé à la myrte à Sartène, et randonnée sur le littoral du Sud-Ouest entre rocher et maquis, à la découverte de la tour génoise de Campomoro.

Randonnée au cœur des Pyrénées dans les paysages merveilleux de la vallée du Lutour pour découvrir au bout du chemin le lac d’Estom dans son écrin minéral. Le sentier, facile, remonte le long du gave du Lutour, entre plaines aux tapis végétal, forêts de pins et de sapins, cascades et sommets enneigés.

Au coeur du Parc national des Pyrénées, randonnée depuis le pont d’Espagne vers le célèbre lac de Gaube. Ambiance mystique garantie entre la brume, les cascades et les couleurs d’Automne. Découverte de la petite ville de Cauterets, ancienne station thermale accrochée à la montagne.

Randonnée de 16,5km dans les pâturages et les hauts plateaux de la vallée d’Aspe. Troupeaux en estive, vautours, vues sur la vallée et les massifs, sous-bois et cabanes de bergers, et le lac d’Arlet et son refuge à 1987m d’altitude.

Randonnée de 5h15 dans la vallée d’Aspe, sur le vertigineux chemin de la Mâture, un sentier creusé dans la montagne il y a plus de 200 ans.

Pendant 5 jours et 5 nuits de fête, le carnaval de Malte prend possession de l’île, donnant un autre visage aux ruelles paisibles de La Valette. Festival de costumes exubérants, de danses et défilé de chars immenses. Tous les Maltais sont de sortie et la musique résonne à chaque coin de rue.

Au carrefour de l’Occident et de l’Orient, Malte est une île chargée d’Histoire. 4 jours à la découverte de sa capitale fortifiée La Valette, des villes médiévales des Trois Cités, des temples uniques vieux de 5000 ans, des falaises de calcaires à l’ouest, des criques de sable blanc au nord et des ports où des bateaux en tout genre se côtoient : embarcations colorées des pêcheurs, paquebots de croisière, ferries, bateaux marchands et militaires, yachts de luxe.

Retour en vidéo sur notre voyage à la Réunion. Les paysages incroyables de l’Ile Bourbon, entre pitons acérés, bassins cachés, jungle luxuriante, lagon aux poissons et monde lunaire du Piton de la Fournaise.

Flâner dans les rues d’Hell-Bourg, parmi les maisons coloniales colorées, au cœur d’une végétation intense et entouré par les montagnes du cirque de Salazie. Hell-Bourg est un des plus beaux villages de la Réunion où le patrimoine créole est encore bien présent. En témoignent la Maison Folio et son jardin extraordinaire.

Randonnée dans la forêt mystique de Bélouve, une forêt primaire à la végétation débordante. Et au bout du chemin boueux, un des sites les plus célèbres de la Réunion…

Remonter le temps dans la rue de Paris à Saint Denis, parmi les maisons créoles et coloniales et les jardins tropicaux.
Grimper sur les hauteurs de la capitale et emprunter les chemins à flanc de montagne qui partent du Colorado. Surplomber la rivière Saint Denis, s’enfoncer dans la forêt, contempler l’océan.

La vie sous l’eau à Bassin Pirogue. Palmiers, lagon aux eaux turquoises et couchers de soleil incendiaires entre la plage de sable noire de Bassin Pirogue et les filaos d’Etang-Salé.

Ascension du Piton des Neiges, plus haut sommet de la Réunion. Départ dans la moiteur de la jungle tropicale et arrivée au sommet aride et venteux pour voir le soleil se lever sur les tropiques.

Escapade dans l’est dans la vallée de la rivière des Roches. Baignade au pied des cascades, dans les eaux transparentes des Bassin La Paix et Bassin La Mer, oasis de fraîcheur entourées d’une nature sauvage et luxuriante.

Aucun chant d’oiseau ne résonne dans l’enclos du volcan. Le piton de la Fournaise a créé son propre monde, un paysage lunaire cerné de remparts. Des kilomètres de pierres tranchantes remplacent la végétation luxuriante de la Réunion. La lave a tout brûlé puis tout recouvert puis tout arrêté.

Le plein de couleurs et d’odeurs au marché de Saint Pierre, un marché métissé à l’image de la population de la Réunion. Baignade, farniente et coucher de soleil à Grande Anse, une plage de carte postale.

3 jours à arpenter les paysages sublimes du cirque de Mafate, un enchevêtrement de vallées et de pitons couronnés de nuages, des villages perdus. Une aura mystérieuse baigne le cirque accessible seulement à pied ou par les airs. Un monde à part qui attise notre curiosité.

Le sud-est sauvage de la Réunion. A la découverte des nouvelles plages de sable noir crées par les coulées de lave du volcan, d’une église miraculée et du paradis ou de ce qui s’en approche à l’Anse des Cascades. Fin de journée dans les eaux cristallines et fraîches de Bassin Bleu à Sainte-Anne.

Une journée dans l’Ouest. Partir à la découverte des 3 bassins nichés dans la végétation de la ravine Saint-Gilles, véritables oasis de fraîcheur. Finir la journée les pieds dans le sable de la plage de Boucan-Canot pour contempler le soleil se coucher sur l’Océan Indien.

Premiers pas sur le sol réunionnais. Plongée dans l’ambiance tropicale au sentier Dassy et introduction à la culture créole au Vieux Domaine.

Explorer Berlin en alternant les incontournables et les oubliés des guides touristiques. Prendre le pouls de la ville dans les biergarten et les friches industrielles reconverties en lieux de détente. Sentir son histoire palpable à chaque coin de rue.

Découvrir une ville étrangère en participant à un évènement avec ses habitants. 3 jours au festival Nos Alive à partager musique, ciel étoilé et coups de soleil.

La suite de notre exploration de la capitale Lisboète. Sur les traces de Vasco de Gama et des splendeurs du Portugal colonial à Belém. Perdus dans la végétation luxuriante d’un jardin botanique oublié. Moment de liesse collectif sur la place du Commerce. Les pieds dans la ville basse et la tête dans la ville haute avec l’elevator de Santa Justa.

5 jours à Lisbonne, au rythme du festival Nos Alive. 5 jours à gravir à pied ou en tramway les 7 collines de la capitale portugaise, à savourer les poissons grillés arrosés de Super Bock, à se perdre dans les ruelles des vieux quartiers, à contempler le Tage depuis les miradors et à se laisser entrainer par la musique le soir.

Où l’on remonte le temps jusqu’à l’Antiquité au Colisée, au Forum Romain, au Mont Palatin et au Panthéon. Où l’on se promène dans l’époque baroque en explorant les églises et les places. Et aussi où l’on fait un vœu au pied de la fontaine de Trevi.

Juillet 2016. Souvenirs de vacances à Rome au cœur de l’été. Toutes les époques de l’Histoire semblent avoir laissé leur marque dans la ville. La Piazza Venezia, le Monument à Victor – Emmanuel II, le Trastevere, la colline du Janicule, le Vatican et la Basilique Saint Pierre.

Bruges, capitale de la Flandre occidentale, serait-elle en train de se transformer en parc d’attraction pour touristes en mal de gaufres et de décors pittoresques soignés ? Pourtant la vieille ville avec ses maisons de brique, ses canaux, ses vieux ponts et ses édifices tout droit sortis du Moyen-Age, exhale encore à certains moments son atmosphère de grand comptoir où marchands de toute l’Europe venaient échanger leurs produits.

Dernière étape au Burkina Faso. Découverte du village traditionnel de Koumi, exploration de la forêt primaire de Kou et baignade dans les eaux rafraichissantes de la Guinguette.

Accident sur la route de Gaoua.

Dans la province du Poni, les Lobi du Burkina Faso vivent dans des villages ruraux et ont conservé un mode de vie traditionnel, fait d’élevage et d’agriculture, d’artisanat et d’architecture spécifiques, et bâti autour d’une organisation sociale où les femmes occupent une place importante.

Dans la région de Gaoua au sud-ouest du Burkina Faso, les femmes Lobi excavent la terre des collines pour extraire de l’or qui sera vendu sur le marché haut en couleurs de Doudou.

Dans la région de Gaoua, la ville aux 1000 collines, les ruines d’une ancienne civilisation perdues au milieu d’une forêt enchanteresse demeurent une énigme pour les archéologues.

Fin de journée sur le Vieux Bobo, quartier historique de Bobo Dioulasso et flânerie dans les ruelles des secteurs animistes, musulmans, griots et forgerons, qui cohabitent pacifiquement.

3 jours pour plonger dans l’eau revigorante des cascades de Banfora, escalader les dômes de Fabédougou afin de contempler les paysages africains, observer la vie rurale sur les rives du lac de Tengrela et se ressourcer dans le jardin luxuriant d’un hôtel de Banfora.

Balade en barque sur les eaux recouvertes d’algues rouges de la mare aux hippopotames de Bala, qui abrite aussi de nombreux oiseaux migrateurs, faisant du lac un écosystème classé par l’UNESCO.

Dans la torpeur d’un après-midi, découverte d’un édifice emblématique du Burkina Faso : la Grande Mosquée de Bobo Dioulasso, son architecture fascinante et son dédale de couloirs obscurs.

Bobo Dioulasso, deuxième métropole du Burkina Faso et ville des musiciens. Visite de l’atelier BaraGnouma où l’on fabrique des instruments de musique traditionnelle et concert de balafon au cabaret Poto Poto.

400 km de piste rouge et de route goudronnée séparent la réserve de Nazinga et la ville de Bobo Dioulasso. Un spectacle fascinant de taxi-brousse surchargés, de carrioles tirées par des ânes, de troupeaux d’animaux et de paysages envoûtants.

La réserve de Nazinga, la brousse dense peuplée d’antilopes, d’éléphants, de singes, de phacochères, de crocodiles et d’oiseaux merveilleux. Etre happé par les paysages africains et observer la faune sauvage évoluer dans son environnement naturel.

Première étape au Burkina Faso, le village de Tiébélé, sa cour royale, ses cases traditionnelles aux motifs géométriques. Rencontre avec Arnaud, guide et conteur.

Bonne arrivée, c’est ainsi que l’on souhaite la bienvenue en Afrique de l’Ouest. Départ pour un voyage de deux semaines au Burkina Faso.

Au large de Bali, la petite île de Lembogan, entre mangrove, villages de pêcheurs, criques escarpées, lagon aux eaux transparentes et raies mantas majestueuses est la dernière étape de notre grand voyage mais pas la moins émouvante.

La ville d’Ubud capitale culturelle de l’île, les danses balinaise, les sources saintes du temple de Tirta Empul, haut lieu de purification hindouiste, et les vertes collines recouvertes de rizières qui entourent la ville.

Rizières en terrasses, végétation exubérante, palmiers, ciel bleu, temples en pierres noires ornés d’offrandes colorées, volcans au loin… une ambiance luxuriante et exotique qui nous rappelle l’Amérique Centrale.

Dans la ville portuaire de Padangbai comme partout à Bali, il y a toujours une célébration en cours ; danses, processions, offrandes de fleurs et cérémonies flamboyantes se déroulent ici sur plusieurs jours.

Nous quittons Sulawesi et entamons notre découverte de Bali par Sanur, ville balnéaire de la côte Est, un mélange étrange d’hôtels de luxe et de bars de plage faisant face à des pêcheurs traditionnels.

Des fonds marins féériques où l’on croise tortues géantes centenaires, étoiles de mer tentaculaires, poissons lion, coraux aux formes variées rehaussés de touches de couleurs détonantes. Des fonds marins réputés parmi les plus beaux du monde.

Pour combattre la chaleur écrasante qui règne à Manado, tour des spécialités culinaires de Sulawesi, comme les martabak, épaisse crêpe sucrée sur laquelle on étale du chocolat, du fromage rappé, des cacahuètes et du lait concentré…

Le village Bajo de Pulau Papan dont les maisons en bois sur pilotis paraissent tout juste accrochées à un gros rocher et comment Guillaume se fait recoudre la tête sur la table du réfectoire.

Non loin de Kadidiri se trouve un lac d’eau salée cerné par la jungle, où l’on peut vivre une expérience unique : nager au milieu de milliers de méduses non venimeuses… un spectacle de toute beauté où les rayons du soleil révèlent les gracieux mouvements des méduses dans les eaux sans fond du lac.

Sur cette île de bout du monde, l’eau cristalline à 30° et les fonds marins riches en coraux font de Kadidiri l’endroit rêvé pour la plongée et le snorkeling.

Il faut 3 jours pour gagner les îles Togian mais l’arrivée entre les îles volcaniques sauvages recouvertes par la forêt est spectaculaire et digne d’un roman de Stevenson.

Derniers jours en Toraja à sillonner le pays à scooter et à pied au cours d’un trek de 2 jours dans les rizières en terrasses, et petit tour au marché aux buffles de Bolu, qui a lieu une fois tous les 6 jours.

Au milieu des montagnes et des rizières en terrasse, vivant dans de curieuses maisons aux toitures évoquant des coques de bateau, le peuple Toraja perpétue d’étranges rites funéraires ancestraux où les disparus continuent d’exister à travers des effigies.

En posant le pied sur l’île de Sulawesi, nous avons l’impression que le ciel a été lavé par les averses et que la brume de chaleur que nous trainions avec nous depuis le Myanmar a enfin été levée. Les couleurs resplendissent, la nature est exubérante, nous sommes entourés de vert, d’eau, de rizières et de collines. Nous voilà en pays Toraja.

Singapour est tout à la fois : une ville, une île, un pays. Large de 42km et longue de 23, située à la jonction entre la Malaisie et l’Indonésie, elle est prospère, ordonnée et immaculée – même les toilettes publiques sont plus propres que les douches communes de notre hôtel. Mais c’est aussi une dictature.

Place aux grandes tours illuminées, aux voies rapides, au métro aérien, aux centres commerciaux, aux passerelles climatisées pour piétons ; la ville est dense, les tours d’habitation et de bureau se dressent à quelques mètres les unes des autres, formant presque une forêt urbaine dans laquelle il est difficile pour le piéton de circuler.

La pagode Schwedagon ou l’image de Yangon à travers le monde et de l’identité birmane. Egalement un endroit aussi fédérateur où les gens de toutes classes se côtoient, pour prier mais aussi se retrouver en famille ou en couple. Un mélange de religiosité et de tradition.

Yangon ne ressemble à aucune autre ville du Myanmar. Loin de l’air assoupi de Mandalay, elle bouillonne, s’agite. Il y règne une certaine effervescence. Des stands de rue fleurissent partout, les trottoirs sont encombrés d’étalages de livres, montres, vêtements, chaussures…

Un monastère perché au sommet d’un piton rocheux en équilibre au-dessus d’un lac, des grottes décorées d’iconographies bouddhistes et une fête hindoue pour le moins spectaculaire.

Le rocher d’Or au Sud-Est du Myanmar est l’un des sites sacrés remportant le plus la faveur des Birmans, venus ici se recueillir et recouvrir de feuilles d’or un énorme rocher maintenu en équilibre grâce à un cheveu de Bouddha.

Bago, ville étape vers le Sud du Myanmar, renferme deux bouddhas géants couchés et un monastère aux airs d’université où les étudiants seraient des moines.

Les étals d’un marché birman, le monastère de Nga Phe Chaung et la pagode Indein, ceint d’un cimetière où les tombes sont des stupas pointant vers le ciel.

Le lac Inle, vaste étendue d’eau calme bordée par les sombres montagnes Shan, avec ses pêcheurs et leur façon de ramer si particulière qui les rend reconnaissables entre tous, ses maisons de bois sur pilotis et ses pagodes et monastères se dressant tout à coup au milieu de l’eau. Un des plus beaux endroits au monde.

Un trek de 45km pour gagner le lac Inle, à travers des paysages arides et des villages isolés où nous passons la nuit chez l’habitant, l’occasion d’observer de plus près la vie rurale birmane.

Ce jour-là à Bagan, a lieu la cérémonie des novices appelée Shinbyu, qui donne lieu à des processions colorées où les futurs moines, garçon et fille, maquillés et parés de robes brodées flamboyantes, défilent avec leur famille sur des chars à boeufs, des chevaux ou des éléphants.

Entre les temples, des scènes rurales disparues depuis longtemps chez nous, où les gens vivent au rythme de la nature et d’où se dégage une douce tranquillité.

2000 temples, pagodes et stupas s’éparpillent dans la plaine de Bagan, ancienne cité impériale bâtie il y a plus de 1000 ans.

La chaleur écrasante ne nous empêche pas de visiter les pagodes de Mandalay dont le point d’orgue est un bouddha boursoufflé de feuilles d’or collés par les fidèles, ainsi que le pont en tek U-bein, le plus long du monde.

De Bangkok, nous retenons les richesses du Palais Royal, l’impressionnant bouddha couché du Wat Pho, les centres commerciaux immenses et les stands de rue à la nourriture délicieuse.

Concours de danse à mi-chemin de la battle de hip hop et de haka dans les rues de Bangkok.

A un, deux, trois, quatre… ou cinq, le scooter est le moyen de locomotion favori des Vietnamiens et un mode de transport à tester absolument pour parcourir à la vietnamienne les rues à la circulation infernale ou les paysages sublimes de rizières.

Sublimée par le mélange mer, cultures, rizières, temples et architectures, Hué est une dernière étape inoubliable au Vietnam.

Flâner dans les ruelles bordées de temples, de maisons de thé et d’échoppes et rêver à l’époque faste où Hoi An était la reine des cités marchandes…

Au cœur des rizières, entre les montagnes et les rivières, des paysages verdoyants enchanteurs, sublimés par la lumière, et un cours particulier de repiquage de riz.

Grosse station balnéaire du pays, il faut s’éloigner du centre pour profiter de la baie aux eaux turquoises entourée de montagnes verdoyantes et constellée de bateaux et barques traditionnels, une invitation au voyage…

Entre les étroites ruelles des vieux quartiers et les larges avenues, les bâtiments coloniaux et les grandes tours, les danses de dragons aperçues à l’improviste à la sortie de temples aussi fréquentés qu’enfumés d’encens, nous sillonnons les rues en scooter afin de vivre la ville comme ses habitants.

Se perdre dans les ruelles remplies de réparateurs de scooters ou bien dans le bazar organisé du marché, découvrir en scooter la vie le long des canaux reliant les bras du Mékong, emprunter les ponts de bois… bref explorer par tous les moyens la zone la plus peuplée du Vietnam.

Cần Thơ, c’est le coeur du delta du Mékong mais c’est aussi le lieu du plus gros marché flottant. Un spectacle fascinant de péniches chargées à ras-bord de fruits ou de légumes autour desquelles gravitent une quantité extraordinaire de petites barques.

Après une incursion de plusieurs semaines au Laos et au Cambodge, nous reprenons la route du Vietnam en descendant les eaux sombres du Mékong depuis Phnom Penh. L’occasion de découvrir la vie locale sur le fleuve, entre maison-bateau, barques de pêcheurs et bacs remplis de scooters.

Entre les somptueux temples et pavillons du Palais Royal, visite du sombre musée Tuol Sleng, l’ancienne prison secrète des opposants à la dictature de Pol Pot. Une journée qui résume bien ce que nous avons ressenti au Cambodge ; un mélange d’anciennes splendeurs et de nature flamboyante côtoyant une extrême misère.

Cap sur l’île de paradisiaque de Koh Rong Samloem, au large de Sihanoukville, pour s’isoler du monde et profiter des plages quasi désertes.

Du lever au coucher du soleil, nous arpentons les temples d’Angkor pour tenter de percer le mystère de l’ancienne capitale khmer, sans oublier d’explorer un des villages flottants du lac voisin Tonle Sap.

Où l’on brave les racines des fromagers qui ont pris possession des temples d’Angkor, dans une fabuleuse fusion entre culture et nature.

Un hamac sur la terrasse d’un bungalow ou le cadre idyllique pour profiter des couchers de soleil extraordinaires qu’offre le Mékong.

Juste avant la frontière cambodgienne, le Mékong se pare de milliers d’îles que nous sillonnons à vélo.

Ruines Khmer à Champasak, village de sculpteurs de Bouddhas à Pakse, et un des plus grands marchés du Laos.

2 jours en scooter sur le plateau des Bolvens, entre plantations de café, cascades et villages isolés aux coutumes ancestrales stupéfiantes.

Photo de mariage au hasard de la visite de la capitale Vientiane : placement des mains, orientation des visages, intensité du regard, rien n’est laissé au hasard pour garantir le succès des photos.

Un paysage de montagnes pain de sucre entre lesquelles coule une rivière vert émeraude, des rizières, des tracteurs en guise de taxi, une fête de village, des grottes sacrées et des buffles grassouillets… les plus belles scènes pittoresques du Laos sont à Vang Vieng.

Difficile de renoncer à la douceur de vivre de Luang Prabang quand on peut se rafraîchir dans les bassins bleu-azur de la cascade de Kuang Si et savourer au coucher du soleil un poisson grillé arrosé d’une Beer Lao sur les bords du Mékong.

Luang Prabang est la ville des temples et donc des moines et des novices qui sont nombreux à pratiquer tous les jours le Tak Bat, une quête au lever du jour dans les rues pour recevoir l’aumône de la part des habitants.

Un nouvel an magique sur une jonque au milieu de la plus célèbre des baies, entourés des montagnes karstiques, éclairés par la seule la lumière lointaine des autres bateaux.

Déambulations dans les rues d’Hanoï ; jeux d’échec, pousse-pousse, marchandes ambulantes aux chapeaux iconiques, brochettes de grenouilles et la pression la moins chère du monde.

Fascinante Hanoï, où l’effervescence moderne côtoie la tradition des temples anciens, les cafés se mêlent aux petits restaurants de soupe de nouilles, serait-ce la plus européenne des capitales asiatique ?

Swayambhunath a la particularité d’accueillir une grande stupa bouddhiste mais aussi des temples hindous. C’est donc l’occasion d’observer les deux rituels.

Colliers de fleurs, sadhus (ascètes), rites funéraires et crémations à Pashupatinath, lieu saint le plus important du Népal pour les Hindous.

A Bhaktapur le temps semble s’être arrêté au Moyen-Age ; les petits vieux ont l’air aussi âgé que les murs affaissés des maisons, les vieilles dames filent de la laine sous des auvents, les femmes font la lessive dans des lavoirs et d’autres se lavent dans de grands bassins.

Le Bouddhanath est une énorme stuppa au Nord Est de Kathmandu et un des sites bouddhistes les plus importants du pays. De nombreux pélerins viennent tourner autour du sanctuaire dans le sens des aiguilles d’une montre tout en faisant tourner des moulins à prières de toutes tailles.

Dans le quartier de Thamel, on croise des temples Hindous ou des stuppas à chaque coin de rue mais c’est au bout du quartier à Durbar Square que l’on trouve les plus impressionnants de la ville. Comme en Inde, la ville est très vivante, chaotique et les rues investies par des marchands dont les micro boutiques se prolongent souvent hors les murs.

Réduire Pokhara à une base arrière pour les treks des Annapournas, ce serait manquer toute la rive sauvage de son lac, ses petits villages rustiques et l’occasion de goûter à l’hospitalité népalaise.

Comment nous devons renoncer au trek dans les Annapournas mais gagnons la chance de faire la connaissance de Sury, de siroter un thé népalais et de recevoir une bénédiction hindoue.

Avant d’attaquer les montagnes du Népal, arrêt dans la réserve de Chitwan, qui offre la chance d’explorer la brousse à pied, et comment survivre en cas de face à face fortuit avec un éléphant, un rhinocéros, un ours ou un tigre.

Lumbini, lieu de naissance supposé de Bouddha, où, comme dans le quartier des ambassades d’une capitale, chaque pays bouddhiste a construit son temple et où les touristes sont… des moines.

A l’hôtel, nous rencontrons deux Espagnoles qui nous proposent de faire un safari avec elles dans la jungle de Panna. Nous les accompagnons en espérant qu’un tigre (ou deux) viendra poser pour nous.

Alors que l’ambiance en Inde est pour le moins assez prude, les temples de Khajuraho ont la particularité d’être entièrement recouverts de figures érotiques voire kamasutresques… Les enfants qui s’improvisent nos guides nous attendent pudiquement à l’entrée de chacun d’entre eux.

Après le tumulte des grandes villes, nous apprécions la quiétude d’Orcha où les temples et les deux palais fortifiés prennent plus de place que le village lui-même. Encore une fois, le hasard fait que nous y séjournons au moment d’une fête et c’est la saison des mariages qui continue.

C’est à Jaipur que nous voyons nos plus beaux palais. Le soin des décorations se retrouve jusque dans les salles de cinéma et les tenues des éléphants.

Le Taj Mahal est magnifique dans la lumière du soleil levant, mais n’est pas le seul point d’intérêt qu’Agra à offrir.

Après avoir parcouru la ville de long en large à la recherche d’un hôtel avec des chambres libres, nous nous amusons à nous perdre dans le dédale de couloirs sombres de Bara Imambara. Nous prenons aussi le temps d’élargir notre connaissance de la gastronomie indienne avec quelques malencontreuses surprises bien trop épicés pour nos palais français.

Les balades sur les ghats et dans les ruelles de Varanasi sont un slalom constant entre pèlerins et vaches sacrées, et pour se reposer d’un tour en barque aux aurores, rien de tel qu’un tour chez le barbier.

L’intensité de la foule atteint son apogée à Varanasi. Dans cette ville sacrée, nous assistons à toute heure de la journée à des cérémonies. Nous rencontrons nos premiers sadhus et nous laissons envouter par le spectacle étrangement beau des bûchers de crémation installés sur les quais.

Pour parcourir les 700 km qui séparent Varanasi de Calcutta, nous passons 18h en train dont une nuit assez éprouvante. Notre baptême du rail en Inde est difficile mais derrière les barreaux des fenêtres le spectacle est d’une rare beauté.

Dans un enchevêtrement d’anciens immeubles coloniaux un peu décatis, de petites baraques et de constructions plus récentes, nous sommes confronté·e·s à une foule et un trafic impressionnants. Nous croisons rapidement notre première vache sacrée, le séjour en Inde peut commencer.

Seul ou en groupe, nous avons aimé observer et capturer les Chinois dans leur vie de tous les jours.

Randonnée dans les spectaculaires rizières en terrasse de Longji et les villages à flanc de montagne où l’on trouve encore des minorités ethniques aux costumes traditionnels colorés.

Embarquement en radeau sur la rivière Li qui serpente entre d’énormes rochers pain de sucre sortis de terre un peu partout… un paysage féérique tellement beau qu’il figure même sur le billet de 20 yuans.

Encore plus loin au Nord Ouest se trouve la ville poussiéreuse de Zhongdian, aujourd’hui renommée Shangri-La. Les maisons en bois ont ici une toute autre allure et la vieille ville a des airs de village tibétain endormi.

Un thé avec la chorale des anciens, des danses traditionnelles, des jeux d’échec chinois et autres déambulations dans les nouvelles vieilles ruelles de Lijiang.

La vie traditionnelle de la campagne chinoise à mille lieues des métropoles et comment nous tombons évidemment en panne de scooter électrique et passons la soirée en famille à regarder un film de kung fu.

Nous quittons le froid de l’Est de la Chine pour embrasser le printemps éternel de la province du Yunnan. Parc du lac d’Emeraude, marchés, thé rouge et joueurs de mah-jong.

Sur la trace des premiers empereurs de Chine au mont Tai, l’une des 5 montagnes sacrées de Chine. Paysage d’estampe et haut lieu de pèlerinage.

Une semaine à être chouchoutés chez Baptiste, Cainty et Tofu. Colline aux mille bouddhas, déambulations nocturnes et concert improvisé.

Des heures à se perdre dans la Cité Interdite puis dans les hutongs, quartiers de vieilles ruelles, dernières traces du vieux Pékins.

2000 km plus au sud, un autre visage du Japon sous le prisme de l’île tropicale. Jungle, cascades, plages sauvages, eau turquoise, récifs coralliens, cuisine originale et petits démons fantaisie, mais toujours avec un zeste d’organisation nippone.

Derniers jours pour profiter des onsens (bains publics japonais), déguster des ramen, soba et udon (soupes de nouilles), faire des courses dans les grands magasins, se laisser étourdir par les néons et enseignes qui peuplent les quartiers de Shinjuku, Shibuya et Ikebukuro.

Retour dans l’univers électrique et trépident de la capitale japonaise.

Quelques heures en transit à Osaka, la troisième ville du Japon par sa taille, où modernité et urbanité exacerbées côtoient un festival de bières… belges.

3 jours à arpenter Kyoto, la ville aux 1000 temples et à s’imaginer à l’époque d’Edo dans le vieux quartier de Gion, fait de ruelles bordées de maisons de bois, lampions et geishas passant furtivement dans l’ombre.

Le quartier traditionnel de Tokyo, son grand temple bouddhiste, sa pagode, les échoppes artisanales et les écoliers en uniformes.

Premiers pas à Tokyo et 15 heures de décalage horaire par rapport à l’Amérique Centrale. En changeant de continent, nous avons changé d’ambiance mais aussi de nourriture, de couverts, de langue et d’alphabet.

22 heures pour s’immerger dans le quartier Art Déco, les immeubles pastels, les palmiers et les néons, figures emblématiques de Miami.

Les Caraïbes comme on en rêve : le petit village paisible, les eaux cristallines, les plages désertes de sable fin et les fonds magiques de la plage de Punta Uva.

Première étape dans le sud caraïbe, Cahuita impressionne par ses plages sauvages magnifiques et son parc naturel où l’on se fait doucement chahuter par des singes capuchinos.

En transit à Puerto Limon, un défilé surprise de fanfares vient égayer notre escale.

Tortuguero est un bout du monde duquel on ne peut qu’arriver et partir en bateau. On y vient pour explorer son réseau de canaux labyrinthiques et observer à distance la ponte des tortues marines.

Exploration de la canopée dans les forêts de nuages de Monteverde où le moindre centimètre carré est recouvert de végétation. Taux d’humidité à son maximum.

Premier bain dans l’océan pacifique et rêverie sur les longues plages bordées de forêts tropicales, qui sont aussi le paradis des surfeurs.

Traversée en ferry du golfe de Nicoya au coucher du soleil à travers des paysages sauvages et une forêt omniprésente.

Un dimanche matin dans la capitale du Costa Rica.

Joyau du Guatemala, Antigua fascine par son architecture coloniale, ses façades aux couleurs pastels, ses rues pavées, ses patios fleuris et les volcans qui l’entoure.

Baignades en cascades dans les piscines naturelles paradisiaques de Semuc Champey.

Livingston est un morceau de côte Caraïbe coincé entre le Belize et le Honduras. Il y fait une chaleur écrasante. Livingston ne ressemble pas au reste du Guatemala mais plutôt à une île des Caraïbes. Ici on laisse le temps s’écouler tranquillement et on apprécie de ne rien faire.

Descente du Rio Dulce vers la ville de Livingston, qui ne s’atteint que par voie fluviale ou maritime, à contempler la vie quotidienne des habitants peuplant le fleuve et ses berges.

Immense et partiellement enfoui sous la jungle, le site de Tikal se prête en tout point au fantasme de la cité perdue que rêverait de découvrir l’explorateur qui sommeille en chacun de nous. Des arbres et de la mousse recouvrent les pierres des anciennes pyramides. Des singes sautent de branche en branche au dessus de nos têtes et le cri des toucans se fait entendre un peu partout. Tikal est de loin le site le plus impressionnant que nous ayons visité.

Vivre au rythme tranquille du village d’El Renate, profiter des jetées qui permettent de plonger dans le lac de Peten Itza et rêver au mystérieux site maya de Tikal.

7 nuances de bleu composent les eaux claires de la laguna de Bacalar, lac d’eau douce situé au sud du Yucatan. Bacalar est une petite station balnéaire paisible loin des immenses resorts et complexes hôteliers du reste de la côte. Une semaine au paradis.

Face aux superbes panamas des Mexicains, nous n’avons pas eu d’autre choix que de nous rendre à Becal, petite ville réputée pour ses chapeaux fabriqués de façon artisanale dans les règles de l’art.

Des pyramides majestueuses à angles arrondis, des palais aux façades décorées de magiques bas-reliefs et comment nous avons passé 4h à discuter de tout et de rien avec les mamies du coin (et notre espagnol approximatif).

Capitale de la péninsule du Yucatan, Merida est célèbre pour son architecture coloniale et est aussi le carrefour culturel de la région.

Nous quittons l’immense station balnéaire qu’est la côte yucatèque pour nous enfoncer à l’intérieur des terres et découvrir un visage plus authentique du Mexique.

Plongée dérivante au large de l’île de Cozumel où se trouve une magnifique barrière de corail s’étendant du Mexique au Honduras en compagnie de Jack Turner.

Où dans la même journée on gravit le sommet d’une pyramide puis s’enfonce dans les profondeurs des cenotes, ces bassins d’eau douce naturels souterrains, nombreux dans la péninsule du Yucatan.

Les premières ruines maya que nous visitons sont celles de Tulum, un site les pieds dans l’eau qui donne sur une des plus belles plages de la côte. C’est ici que nous faisons connaissance avec les iguanes, que nous rencontrerons dans toute l’Amérique centrale.

“Welcome to paradise…” C’est au son de cette phrase que sont accueillis les touristes américains à la descente de l’avion à Cancun. Il faut avouer que les plages de la côte caraïbe sont très belles ; eau turquoise, sable blanc, cocotiers, poissons multicolores et tortues à quelques mètres du rivage.

Lima est plus une ville à vivre qu’à visiter. C’est une immense métropole d’où émane une atmosphère différente de chacun de ses quartiers. Elle nous surprend. Il faut savoir passer sous l’épaisse couche de nuages qui bouche le ciel en cette saison pour profiter de ses attraits. Sans quoi on risquerait de passer à côté de cette ville fascinante.

Visite guidée de Lima par Giuliana et sa famille, dégustation de ceviche et riz au lait, découverte du centre historique et des quartiers prisés des habitants de la capitale.

Quelques jours à se prendre pour Laurence d’Arabie dans une véritable oasis au milieu du désert d’Atacama.

A Pisco, ville côtière du Pérou, nous partons explorer les îles Ballestas, surnommées les petites Galapagos à cause de la faune particulière qui y réside. Colonies d’oiseaux, de pingouins et de lions de mer en vue.

De retour à Puerto Maldonado, nous passons une dernière journée à flâner dans cette petite ville de l’Amazonie et à déguster de délicieux poissons.

La forêt amazonienne n’est pas que plantes vertes et arbres gigantesques : elle comporte aussi son lot de fleurs spectaculaires.

Croisées dans la jungle : une mygale, des tarentules, une araignée scorpion, des fourmis coupe-feuilles, une chenille fluo, des serpents…

Au milieu de la jungle amazonienne, le lac Sandoval apparaît au sortir d’un petit canal. Notre pirogue avance doucement, sans bruit. Le calme qui se dégage du lieu contraste avec les couleurs chatoyantes de la nature. Ce havre de paix est idéal pour observer la faune et la flore.

Comment survivre au cœur de la jungle amazonienne : leçons de pêche aux piranhas, dégustation de vers de noix de coco, installation du campement et pistage du jaguar.

Entre deux bras du fleuve Tambopata, se trouve une falaise d’argile où des centaines de perroquets viennent se nourrir au lever du jour. C’est l’occasion pour nous de passer quelques heures à les observer à l’heure du petit-déjeuner.

À mesure que nous remontons le fleuve Tambopata en pirogue, nous sentons que nous nous enfonçons profondément dans la forêt, loin des hommes et des habitations. Nous nous sentons comme aux racines du monde.

Ultime montée de marches avant d’accéder enfin au Machu Picchu, qui se dévoile peu à peu à mesure que la brume se lève, comme pour mieux livrer tous ses secrets.

Départ pour une randonnée de trois jours à travers la vallée isolée de Lares avec passage d’un col de 4500m d’altitude, qui nous amènera au pied du Machu Picchu tant convoité.

En arrivant à Cusco, nous sentons que nous nous rapprochons du Machu Picchu. La vieille ville mélange les constructions coloniales et incas et le centre est tout entier tourné vers le tourisme.

En vrac croisés sur la route : des paysages magnifiques, un agneau, des vendeurs ambulants, un impressionnant marché aux peaux de mouton.

Exploration de la ville de Puno à travers ses spécialités culinaires et ses marchés colorés et début d’un régime à base de truite grillée.

Balade en bateau autour des îles flottantes d’Uros situées à 3812m d’altitude sur le plus haut lac navigable du monde, le lac Titicaca.

Retrouvailles dans la ville d’Arequipa, ville coloniale faite de pierres de lave blanche, située au pied du volcan enneigé Mitsi, et visite du plus grand couvent du monde.

Lorsque nous passons la frontière entre la Bolivie et le Pérou, nous les voyons tout de suite apparaître: les moto-taxis. Tous plus décorés les uns que les autres, ils sont omniprésents au Pérou, sauf dans les grandes villes.

La légende raconte que le soleil est né sur l’Isla del Sol, au large de Copacabana, et que s’y sont matérialisés les premiers Incas.

Le lac Titicaca s’étend à perte de vue, on croirait la mer bien qu’il se situe à 3800m d’altitude. La ville de Copacabana s’est parée de fleurs pour fêter sa Vierge et voit défiler de nombreuses fanfares et groupes folkloriques pour l’occasion.

2 jours se transforment en une semaine à profiter de la douceur de vivre de la belle ville coloniale de Sucre.

Désert de sel le plus grand du monde, le salar d’Uyuni offre un paysage lunaire hallucinatoire d’une blancheur parfaite où l’horizon semble s’étendre à l’infini.

La nuit du 23 juin a lieu la fête de la nuit la plus froide autour d’un grand un feu avec distribution de feuilles de coca et alcools locaux. Pétards et feux d’artifices sont aussi de la partie.

Ici bien plus qu’en terre de feu, un vent glacial souffle sans cesse sur la région. Mais le Sud-Lipez offre définitivement les plus beaux paysages de l’Amérique du Sud : lacs rouges et noirs, geysers, formations rocheuses étranges surgissant au milieu du désert, piste traversant des plaines immenses surplombées de montagnes et volcans.

Nous quittons l’Argentine pour les paysages désertiques du Sud-Lípez en Bolivie, où l’on compte plus de lamas que d’habitants.

2ème jour sur la route à la découverte du Nord-Ouest argentin, à travers des paysages aux formes et aux couleurs saisissantes.

1er jour sur la route à la découverte du Nord-Ouest argentin. Nous guettons nos premiers lamas et tombons sur des cactus géants.

Architecture coloniale et nombreuses églises à Salta.

Où l’on joue à explorer la jungle exubérante entourant les chutes d’Iguazú tels deux Indiana Jones.

Où l’on arpente les nombreux sentiers offrant des points de vue sur les chutes et où l’on affronte un gang de coatis.

Entourées d’une forêt tropicale dense, les 275 cascades formant les chutes d’Iguazú n’usurpent pas leur titre de merveille naturelle classée au patrimoine mondial par l’UNESCO.

Quand nous ouvrons les yeux à Puerto Iguazú après une nuit de voyage, la terre est devenue rouge, la végétation luxuriante et l’atmosphère très humide. La ville semble perdue au milieu de la jungle.

La ville Jésuite offre son lot de bars à empanadas où il fait bon s’attarder et déguster une Quilmes en fin de journée.

Le parc national Sierra de las Quijadas, une petite version du grand canyon, et comment nous avons failli passer la nuit dans le désert.

30 heures de route à travers le Nord de la Patagonie, la région de Cuyo et le centre argentin.

Tournée des bodega en vélo pour une dégustation des vignobles argentins.

Sur la Ruta de los siete lagos, 200 km entre montagnes et lacs, et tournée des chocolateries à l’arrivée.

Sous la brume se dévoile lentement le célèbre glacier de Patagonie, un spectacle à la fois visuel et sonore : craquements, fissures et blocs de glace tombant avec fracas dans les eaux bleues du lac Argentino.

20 heures de route en Patagonie à travers la pampa argentine.

Des paysages aux couleurs fauves ou des collines enneigées. Le froid, la pluie, la neige… mais des paysages magnifiques. Ici les points de vue se méritent.

Direction plein sud vers la ville la plus australe du monde : Ushuaia

Derniers jours à Buenos Aires pour arpenter les rues de la capitale argentine.

Une journée à Colonia Del Sacramento, à 1 heure de bateau de Buenos Aires. Nous nous perdons dans les petites rues aux pavés plus qu’usés par le temps.

Les quartiers de la Boca et de Palermo.

Notre première étape du tour du monde : à la découverte de la cosmopolite capitale argentine, Buenos Aires.

Départ de Paris pour un voyage d’un an sur les routes d’Amérique Latine et d’Asie.