Labyrinthe à Lucknow

À notre arrivée à Lucknow, tous les hôtels que nous avions repérés s’avèrent complets. C’est la saison des mariages, nous sommes le weekend et tout est pris d’assaut par les nombreuses familles indiennes.
Nous finissons par trouver une chambre chère et pas transcendante légèrement à l’écart du centre-ville grâce à notre chauffeur de taxi qui nous balade d’hôtel en hôtel (moyennant un généreux supplément).

Nous visitons nos premiers mausolées et nous amusons à nous perdre dans le dédale de couloirs sombres qui surplombent le Bara Imambara où se troue la tombe de son constructeur et de sa mère. Quand finalement nous trouvons la sortie, nous débouchons sur une très belle vue sur l’ensemble du site et une partie de la ville.

Comme en Chine, beaucoup d’Indiens demandent à se prendre en photo avec nous et les séances photo durent parfois un certain temps quand il faut prendre la pose avec chacun des membres de la famille ou du groupe d’amis, un par un puis par deux puis tous ensemble.
Parfois des Indiens nous demandent juste de les prendre en photo avec notre appareil et s’en vont sans même regarder la photo…

Nous découvrons les dum aloo, un curry de petites pommes de terre fourrées et les paneers, du fromage indien ressemblant plutôt à des dés de tofu, en sauce, comme la majorité des plats que nous mangeons. Pour faire face à la cuisine épicée, on commande dorénavant toujours en plus un riz aux légumes ou un biryani avec des nans (voire des butter nans). Et le matin c’est invariablement toast au beurre et chai (thé au lait).

Groupe de femmes en saris coloré à Lucknow, Indes

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